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lundi 28 mars 2011

« Viol collectif » dans la cage d’escalier

La cha?ne BFM TV l’annonce lundi : ? Un viol collectif ? a eu lieu à Bobigny. Sur une mineure de bient?t quinze ans, apparemment handicapée. Il n’est pas précisé si cette personne est handicapée mentale ou physique. Habitant Bobigny, j’essaie d’en savoir davantage. J’y parviens en joignant le témoin qui a prévenu les urgences et la police venues secourir cette jeune fille.


Voici comment le drame se serait déroulé, selon ce témoin : ? C’étais samedi 7 novembre, il était environ 15 heures. Je faisais mon ménage tranquillement avec ma mère. Au moment d’allumer l’aspirateur, j’entends un sacré boucan dans l’escalier – mon salon a un mur commun avec la cage d’escalier. J’ai aussit?t senti qu’il ne s’agissait pas de jeunes se chahutant mais de quelque chose de grave. J’ai ouvert ma porte et j’ai entendu des cris. Ceux d’une jeune fille, visiblement. J’ai entre-ouvert la porte de l’escalier le plus discrètement possible et j’ai vu une scène horrible.


? Je ne voyais que le haut d’un corps, allongé sur les marches de l’escalier. C’était une jeune fille toute blanche, le choc, je pense. Elle criait : « S’il vous pla?t, ne faites pas ?a ! Je vous en supplie, ne faites pas ?a !  » J’ai pu voir qu’un jeune lui tirait les jambes. Mais comme que l’escalier tourne, je n’ai pas pu voir son visage. Ma mère est venue derrière moi et m’a tirée d’un coup sec et ferme. J’ai donc laché la porte qui a légèrement claqué. Je pense que cela les a fait fuir. J’ai aussit?t prévenu le 17. C’est la première fois que je vois une intervention aussi rapide. Cinq minutes montre en main et j’entendais les sirènes en bas de chez moi.


? Après avoir secouru la jeune fille et l’avoir emmenée dans le camion de pompiers, la police est venue chez moi pour avoir plus d’informations. Le choc m’empêchait de parler d’un trait tant je sanglotais. Mais j’ai réussi à leur expliquer tout ?a. Par l’intermédiaire des policiers, j’ai appris que le visage de la jeune fille avait été gazé à la lacrymogène, s?rement pour l’étourdir. De plus, j’ai vu qu’elle avait vomi deux étages plus bas. Mon Dieu, ce qu’elle a d? être choquée. J’espère que les sales types qui ont fait ?a vont prendre gros. J’ai appris ensuite qu’il s’agissait de quatre jeunes agés de 16 à 18 ans. Il auraient tous participé au viol. ?



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lundi 21 mars 2011

Chacun cherche son personal shopper « Ecotidien

Certains d’entre vous ont peut-être déjà entendu parler du phénomène du personal shopper dans les médias. Il s’agit d’une personne qui vous aide à vous relooker ou qui fait votre shopping à votre place. Dans ces reportages, le personal shopping a été présenté soit comme un service réservé aux fortunés, soit un service gratuit, mais pas très personnel, disponible dans les grands magasins. Mais il y a des personal shoppers qui proposent un service très personnalisé et toutefois accessible à tout le monde. Iris en a dénichés quelques-uns pour vous.
Depuis qu’elle est toute petite, Valérie Gonzalez adore la mode. Ses copines la chargeaient toujours de leur trouver de beaux vêtements, mais à l’époque elle ne savait pas encore qu’elle allait en faire son métier un jour. A 16 ans, elle commence à travailler dans une boutique à Strasbourg, et cinq ans plus tard elle s’installe dans la capitale où elle travaillera avec plusieurs designers, soit en tant que directrice de boutique soit en showroom.
Le déclic pour devenir personal shopper, elle l’a eu il y a 8 mois. L’idée est née de sa grande passion pour le shopping, pas pour elle-même, mais pour les autres. Au début, Valérie Gonzales ne savait même pas que c’était une vraie profession. ? Quand je me suis lancée, je me disais juste que ?a pourrait marcher. Ce n’est qu’après coup que j’ai appris que le concept du personal shopping existait déjà aux Etats-Unis ?, affirme-t-elle.
Sur son site Internet, elle propose différents formules comme le “shopping personnalisé”, des conseils en style ou le “shopping cadeau”. Chaque service co?te 60 euros de l’heure. ? Mes clients ont en moyenne 45 ans et plus. Ce sont souvent des hommes qui n’aiment pas faire les magasins ou qui n’ont pas le temps. J’aime bien travailler avec eux, parce qu’ils sont tellement perdus que c’est presque mignon ?, s’amuse-t-elle.
Dominique Granger, 43 ans, est l’un de ces hommes qui ont fait appel à Valérie Gonzalez. Pour ce gérant d’entreprise la période des fêtes à été particulièrement chargée de travail. Il ne restait donc pas beaucoup de temps pour aller acheter des cadeaux de No?l. Puis un soir, il a entendu parler du phénomène du personal shopping à la télé et a tout de suite entamé une recherche sur Internet. C’est comme ?a qu’il est tombé sur le site de Valérie Gonzalez.
? Je l’ai appelée, je lui ai expliqué ma situation et ensemble, nous avons développé des idées. Et après, elle a acheté une quinzaine de cadeaux pour moi ?, raconte-t-il en ajoutant : ? Je sais que c’est une grande responsabilité qu’on confie à quelqu’un qu’on ne conna?t même pas, mais j’ai vu qu’elle avait de l’expérience. Alors, je lui ai fait confiance, et je sais déjà que ce ne sont pas les derniers cadeaux qu’elle a achetés pour moi. ?
La personal shopper Lilye a, quant à elle, souvent affaire à des clients plus extravagants. En deux années de carrière, elle en a eu des demandes particulières : organiser des shows privés, réserver des boutiques, dénicher une bonne cave à cigares ou trouver un parfum sur mesure. Quoi qu’il arrive, Lilye a d? s’adapter à la situation. ? Une fois, j’ai d? trouver des habits pour le chien d’une dame qui a l’habitude d’habiller son animal de la même fa?on qu’elle ?, dit-elle en souriant.
Graphiste de formation, Lilye a longtemps travaillé dans une boutique multimarque avant de se convertir au personal shopping. Elle a ressenti que les clients avaient ? besoin d’être chouchoutés ?. C’est ?a ce qui l’a motivée à se lancer. ? Quand j’ai commencé, je conseillais surtout des gens aisés. C’était notamment des touristes américains pour lesquels ce genre de service était déjà quelque chose de très normal. Pour eux, c’est comme d’aller chez le boulanger, alors que les Fran?ais se demandent encore à quoi ?a sert ?, explique-t-elle.
Mais les choses ont un peu évolué depuis. De plus en plus de Fran?ais font appel à elle, et pas seulement les nantis. ? Chez les hommes, c’est parfois après une promotion qu’ils ont besoin d’un conseil pour trouver le style vestimentaire adapté à leur nouvelle position. ?a peut aussi être quelqu’un? en quête d’identité après avoir perdu son travail ou bien une femme qui cherche à se redéfinir suite à une rupture amoureuse ?, précise Lilye. Elle propose ainsi des services très souples en fonction du besoin et du budget de ses clients. Il y a par exemple la formule “analyse garde robe” à domicile pour 60 euros, ou deux heures de “diagnostique look” à 50 euros. Sinon Lilye vous fait un devis selon vos attentes.
Valérie Gonzalez et Lilye assurent toutes les deux que pour trouver son style, il n’est pas nécessaire d’avoir un gros portefeuille. Tout est une simple question de gout. ? Même avec un petit budget on peut avoir un bon look, affirme Lilye. Maintenant on mixe un max de tout. Cher ou pas cher, il faut juste savoir combiner les choses. ? Les deux sont par ailleurs convaincues que le service de personal shopping va encore se développer, parce que les gens veulent acheter de fa?on moins impulsifs et surtout trouver des choses adaptées et de qualité.
C’est aussi l’opinion de Marion Picard qui s’est lancée dans le personal shopping pour bébés il y a quelques mois. Ancienne employée dans un service de recrutement, elle a toujours voulu créer sa propre entreprise. Après avoir vécu deux grossesses, elle s’est dit qu’il fallait aider les futurs parents débordés ou perdus à acheter les choses indispensables pour l’arrivée du bébé, tout en évitant les achats inutiles. Et la voici devenue personal shopper pour bébés !
Quant à ses prestations, Marion explique que son idée initiale était de dépanner des parents qui ont besoin d’un coup de main. ? Donc, j’ai essayé de faire des prix qui sont quasiment accessibles à tous ?, dit-elle. Parmi ses formules on trouve la “shopping list” à 59 euros ou le “shopping tour” à 39 euros de l’heure. Selon Clémence, une jeune maman qui exerce le métier d’écrivain public et attend son deuxième enfant, le service de Marion vaut tout à fait le coup : ? On a tellement tendance à acheter trop de trucs, soit en double soit de mauvaise qualité, qu’au final, je dirais que ?a ne revient pas trop cher, argumente-t-elle. Mais c’est vrai qu’il faut l’avoir pratiqué pour comprendre les erreurs qu’on peut faire au début, parce que les vendeurs te poussent à acheter plein de choses qu’on n’utilise pas dans la pratique. ?
Si vous êtes, vous aussi, grand amateur d’achats inutiles avec une armoire pleine à craquer, mais sans jamais savoir quoi mettre, le service du personal shopping peut être la bonne solution. Car contrairement à votre chéri(e) ou une bonne copine, un personal shopper examinera votre style avec un ?il d’expert et pourra vous inciter à faire preuve d’audace.
Iris Hartl

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lundi 14 mars 2011

Les rats ont souvent bonne mine

Voici un bébé rat, attaché par un minuscule Harnais, quelque part en Tanzanie… et s’il pointe son nez en l’air, ce n’est pas pour capter une éventuelle odeur de fromage l’amenant vers un bon repas, mais tout simplement parcequ’il est à la recherche de mines antipersonnelles…
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Alors qu’il faut en moyenne une journée entière à 2 hommes surentrainés pour déminer 600 mètres carrés de terrain, l’utilisation de rats entrainés à cet exercice pourrait amener le temps d’opération à seulement deux heures …
Les rats étant suffisamment légers pour avancer sans crainte de faire exploser les mines, une organisation belge a misé sur leur utilisation pour aider le travail des démineurs.
D’adorables bébés rats ont ainsi été entrainés à repérer les odeurs des explosifs qui constituent les mines et à les signaler aux démineurs, qui s’occupent ensuite de l’extraction et de la sécurisation des engins.
Si les chiens sont couramment utilisés dans la recherche des stupéfiants ou d’explosifs, il s’avère que les rats se dressent plus facilement et sont plus efficaces à la tache.
Leur entrainement débute à l’agé de 4 semaines, age à partir duquel ils sont en mesure de surmonter leur peur naturelle de l’homme. Ils sont ainsi exercés à associer le cliquetis particulier avec une récompense alimentaire, puis à reconnaitre l’odeur du TNT.
Après avoir correctement identifié un explosif, le dresseur émet un cliquetis et récompense le rat avec un morceau de banane. C’est après 9 mois d’entrainement quotidien que les rats renifleurs sont ainsi rendus opérationnels pour les interventions de déminage.
Selon l’APOPO (l’association belge à l’origine du projet), les rongeurs(qui sont déjà utilisés en Tanzanie pour dépister les cas de tuberculose) devraient prochainement être capables d’intervenir dans la recherche de stupéfiants ou aider à localiser les victimes piégées sous des décombres lors de catastrophes

cartier montres

lundi 7 mars 2011

Arrosez votre sapin de Noël, que diable

Mon beau sapin, roi des forêts, tu peux tous nous carboniser… Je ne veux pas vous faire peur, mais juste vous donner un conseil. Si vous avez acheté un vrai sapin, c’est bien pour la planète, OK.
Mais, veuillez à ce qu’il ne soit pas trop desséché. Il faut que ses épines restent souples. Pour cela, installez votre sapin en mettant son pied dans un seau rempli de 6 ou 7 litres d’eau. Sinon, regardez un peu page suivante…
Votre sapin tout sec peut se transformer en véritable bombe incendiaire, emportant votre salon et votre nouvel écran plat en moins de 60 secondes.


Voici la différence de combustion entre un sapin bien arrosé et un sapin sec


La vision depuis le canapé


Conclusion : Nous avons envie de vous retrouver parmi nous l’an prochain. N’oubliez d’arroser votre sapin et s’il est tout sec, jetez-le.

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