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mercredi 26 janvier 2011

Politique - L'UMP ne croit pas à l'émancipation des radicaux

Le 24?novembre, après en avoir discuté avec ses amis en bureau politique, le président du Parti radical avait annoncé qu'il quittait la vice-présidence de l'UMP.

Le 24?novembre, après en avoir discuté avec ses amis en bureau politique, le président du Parti radical avait annoncé qu'il quittait la vice-présidence de l'UMP.

Si le départ groupé des radicaux des instances de l'UMP n'est plus d'actualité, les cadres de la majorité s'interrogent sur la stratégie de Jean-Louis Borloo pour 2012.


Le ?Cas? Borloo n'est pas un problème à l'UMP, selon Jean-Fran?ois Copé. Le 24?novembre, après en avoir discuté avec ses amis en bureau politique, le président du Parti radical avait annoncé qu'il quittait la vice-présidence de l'UMP. Laurent Hénart, son bras droit, avait même assuré qu'?aucun? radical ne prendrait de ?fonction exécutive? au sein du parti présidentiel. Quinze jours plus tard, Jean-Fran?ois Copé affirme que ?Jean-Louis Borloo exclut aujourd'hui en toute hypothèse que le Parti radical quitte l'UMP?. Quelques heures avant le grand ?d?ner de la République? de Borloo, ce jeudi soir, Copé espérait encore qu'il revienne sur sa décision de quitter la vice-présidence de l'UMP. Même s'il avait déjà une solution de rechange, au cas où, pour conserver à la direction du ?parlement? du parti son caractère ?pluraliste?: ?On nommera un centriste, pas forcément radical, mais qui incarnera cette sensibilité.? Le nom de Pierre Méhaignerie circule.
Quant au départ groupé des radicaux des instances de l'UMP, il n'est plus d'actualité. ?André Rossinot, vice-président du Parti radical, le représentera au bureau politique?, assure Jean-Fran?ois Copé. Bref, les radicaux ne sont pas près de rompre avec l'UMP, à laquelle ils doivent la plupart de leurs mandats et portefeuilles ministériels.

Stratégie

D'où l'épais brouillard qui entoure la stratégie de Jean-Louis Borloo. A-t-il l'intention de se présenter en 2012, bien qu'il se défende actuellement d'une quelconque ambition présidentielle? ?Sa candidature est toujours possible, estime l'ex-porte-parole de l'UMP Dominique Paillé, aussi membre du Parti radical, mais il faut qu'elle s'inscrive dans une stratégie gagnante pour la majorité.? Invité du d?ner de ce jeudi, le président UMP du Sénat, Gérard Larcher, a tenu à mettre les choses au point devant l'Association des journalistes parlementaires: ?Je peux avoir Jean-Louis Borloo comme ami (…) mais, très clairement, si Nicolas Sarkozy est candidat, je le soutiendrai.? L'ancien secrétaire d'état à l'Outre-Mer Yves Jego, également UMP et radical, a conseillé lui aussi à Borloo de ?ne pas jouer de carte personnelle? en 2012.

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